Page:Ramayana, trad. Roussel, tome 1.djvu/53

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57. Ce noble prince, prosterné à terre. Le roi (eut) l’âme joyeuse, après avoir offert le meilleur des sacrifices,

58. Qui efface les péchés, conduit au ciel, qui est difficilement accessible aux taureaux des rois (eux-mêmes). Le roi Daçaratha dit alors à Rĭshyaçrĭñga :

59. Tu dois maintenant accroître (ma) race, ô toi qui es fidèle à tes vœux. Certainement, répondit cet éminent Deux-fois-né. Il ajouta : Ô roi, il te naîtra quatre fils d’élite, qui perpétueront ta race.

60. À cette parole, douce à entendre (de l’ascète), le saint roi se prosternant devant lui ressentit la plus vive allégresse. Le (prince) magnanime s’entretint de nouveau avec Rĭshyaçrĭñga.


Tel est, dans le vénérable Râmâyana,

Le premier des poèmes, œuvre de Vâlmîki, le Rĭshi,

Le quatorzième Sarga du Bâlakânda.