L’étude que nous avons publiée dans la Romania en 1878 n’était dans notre pensée qu’une sorte d’introduction à un Recueil général des sotties dont nous avions dès lors conçu le plan. Les matériaux que nous avions réunis ne se sont pas sensiblement accrus ; nous avons eu cependant la bonne fortune de rencontrer quelques pièces nouvelles, une surtout, La Sottie de l’Astrologue, qui nous paraît jeter un jour curieux sur le théâtre des écoliers au début du règne de Louis XII.
Au moment de livrer notre travail à l’imprimerie, nous avons plus d’une fois reculé devant les difficultés de l’exécution. Il a fallu, pour nous décider à entreprendre la publication projetée, que Gaston Paris consentît à s’y associer en quelque sorte, en acceptant les délicates fonctions de commissaire responsable. Malgré son état de santé déjà précaire, il a rempli ces fonctions avec le zèle, avec la sagacité qu’il apportait à toute chose. Nous lui devons, surtout pour notre VIIe pièce, de très
