Page:Regle de saint Benoit 1689 - Rusand, 1824.djvu/247

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aura faite, persiste dans l’ordre qu’il lui a donné, il faut que le Frère se persuade qu’il lui est utile qu’il en use de la sorte ; et que, mettant sa confiance dans l’assistance de Dieu, il lui obéisse par le sentiment d’une charité sincère.





Que nul dans le Monastère n’ait la témérité de prendre la défense d’un autre.


Il faut extrêmement prendre garde que par nulle raison aucun des frères dans le Monastère n’ait la témérité d’en défendre un autre ; comme s’il voulait le protéger, quelque affinité qu’il ait avec lui du côté du sang et de la nature ; et que jamais, sous quelque prétexte que