Page:Regle de saint Benoit 1689 - Rusand, 1824.djvu/248

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ce puisse être, personne ne s’attribue cette autorité ; parce qu’il peut naître de là des scandales presque infinis. Que si quelqu’un transgresse cette ordonnance, il sera châtié avec beaucoup de rigueur.





Que nul n’ait la hardiesse de frapper ou d’excommunier personne.


On retranchera de la communauté tout ce qui pourrait donner occasion de s’élever. C’est pourquoi nous ordonnons et nous établissons que nul des Frères n’ait la hardiesse d’en excommunier ou d’en frapper un autre, si ce n’est que l’Abbé lui en ait donné le pouvoir. On reprendra publiquement