Page:Retif de La Bretonne - L’Anti-Justine, 1798.djvu/41

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

Chapitre XI. Pucelage destiné aux gros vits, pris par un petit

Non, comme nous en sommes convenus, passez dans la chambre éclairée, faites-moi voir, en badinant avec elle, tétons, cul et con ; je me réserve pour la nuit. — Oh ! ce coup-ci serait par-dessus le marché. — Non, j’aime à foutre au lit, à suçoter langue et tétons, à enconner, enculer, entétonner, etc., à mordre, arracher les bouts… Allez, ayez le vit à l’air, et qu’elle soit bien chaussée… De la brutalité ! »

Vitnègre rentra déculotté auprès de sa femme, toujours tremblante devant lui. « Allons, bougresse, il me faut du plaisir ! Vois comme je bande, à la vue de ce joli soulier vert ! J’ai entendu hier un jean-foutre derrière toi, qui disait qu’il aurait voulu décharger dedans… A bas ce fichu, que je voie tes tétons… Comme ils sont jolis ! blancs ! fermes ! Ah ! garce, j’arracherais ce joli bouton, si je ne craignais de les gâter ! Marche ! Quel tour de croupion foutatif !… Troussée, putain, au-dessus des reins et du nombril, que je voie ce mécanisme-là ! Marche en avant, présentant le con. Retourne-t’en montrant le cul… Ah !… le joli mouvement ! Continue, garce à cul et à con, jusqu’à ce que je te dise : Holà ! »