Page:Rictus - le Cœur populaire, 1920.djvu/145

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

La Grande Irma



Ô Maman, ma Maman jolie,
nous nous sommes bien promenés
ce Dimanche de permission....


C’est bientôt l’heure du dîner,
voici quelques gouttes de pluie...
mon casoar sera mouillé,
ses plumes seront défraîchies.


Et vous, avec vos fins souliers
découverts et vos bas à jour
peu faits pour cette ignoble boue
attraperez du mal, bien sûr.


Ô Maman, ma Maman jolie,
Voulez-vous que nous rentrions ?