Page:Rictus - le Cœur populaire, 1920.djvu/28

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Et v’lan ! Boum ! Le v’là qui s’abat
su’ ce pauv’ pieu, su’ ce grabat,
ousque roupill’, sans s’emballer,


sa Démolie, sa Désolée....


Et dans la nuit, près d’ la muraille,
(sous l’ chromo de quéqu’ Président
qui fait l’ voyeur là, sans tiquer),
l’Ovréier r’tourn’ sa légitime
(laquelle effarée rouvr’ les z’yeux
ayant l’air de dir’ : — « C’ qu’y a l’ feu ? »


et, sans mamours préparatoires,
sans un bécot, sans rien d’ gentil,
(un peu pus même y la battrait ;
dans les temps l’ était pus poli !)