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i56 LEXIQUE DE LA LA.NGUE [OÙ

Ils savoient fort bien prendre sur eux-mêmes pour soutenir les grandes places où Dieu les a destinés. (IX, 235.5

Ces périls continuels où il étoit exposé. (IX, 378, 379.) Ce rendez-vous où il manque. (IX, 379.)

Je veux prendre goût à ce soulagement, où je n’eusse jamais pensé sans lui (sans mon fils). (Gr. VI, 298.)

Cela fait faire à cet heureux ménage un voyage au Maine où ils ne pensoient pas. (Gr. VII, 16.)

Nous lisons des livres de ministres il y en a un qui répond aux Préjugés, on jevoudrois que M. Arnauld eût répondu. (Gr. VII, 85.) Vous vous justifierez des choses où vous savez bien ce qu’il faut répondre. (X, 317.)

Raison où il n’y a pas un mot à répondre, raison qui ferme la bouche. (X, 2oo.)

C’est une bagatelle en comparaison d’être huit mois à tuer son père, et à recevoir toutes ses caresses et toutes ses douceurs, oh elle (la Erinvilliers) ne répondoit qu’en doublant toujours la dose. (i7»5, IV, 55».)

Je ne sais plus le plan de votre famille. ni ce qui est autour de vous. il y a pourtant deux jolis garçons où je ne saurois me méprendre. (Autogr. X, i3o.)

Un style qui lui ressemble comme deux gouttes d’eau, où l’on ne sauroit se méprendre. (X, i3.)

Ma tante a reçu encore aujourd’hui le viatique dans la pensée de faire le sien(io« voyage), où elle est appliquée avec une dévotion angélique. (1726, III, ioo.)

Le bon abbé est un peu incommodé. Ce sont des maux où il est accoutumé. (Autogr. VII, 3oG.)

C’est une humiliation oit je ne puis m’accoutumer. (IV, 379.) Le nom de Bussy est assez commun, celui de comte le distingue, et le rend le vôtre, où l’on est accoutumé. (B. IV, 387, 288.) Personne ne soutiendra mieux que moi’la justice de ce changement (de noms), où le public s’oppose toujours. (B. IX, 5ig.) Après le marquis (de Grignan), il n’y a personne où je prisse tant d’intérêt. (Autogr. IX, 537.)

M. de Caumartin. ne m’a pas crue digne de me donner part d’une nouvelle où je prends tant d’intérêt. (Autogr. VI, 292.) J’entreprends de vous amuser un quart d’heure, et par des choses où vous avez intérêt, et par le récit de ce qui se passe dans le monde. (Gr. II, 498.)

Que ne donnerois-je pas pour voir un peu dans votre cœur sur plusieurs chapitres, ce lieu où je desire tant d’être, et oit je prends tant d’intérêt. (Gr. II, 118.)