Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 14-2.djvu/283

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QUE] ] DE MADAME DE SÉVIGNJ3. a?5

d’envie de sauver une âme qui étoit dans un beau corps qu’une autre. (V, 27-)

io° À ce que

Je comprends qu’en effet vous perdez un peu que je ne sois plus ù Paris. (VI, 4o3.)

i_i° QuE après dire, parler, ou après des mots exprimant ou impliquant l’idée de dire ou de discours

M. de Pompone ne put retenir quelques larmes, en lui parlant (au Roi) du malheur qu’il avoit eu de lui déplaire; que pour sa famille il l’abandonnoit aux bontés de Sa Majesté; que toute sa douleur étoit, etc. (Gr. VI, 253.)

Les seigneurs mêmes. ont fait leur protestation de la violence de la chambre basse, et qu’on ne peut point élire un roi, qu’il ne soit jugé juridiquement que le royaume est vacant. (Gr. VIII, 495.) Voyez ci-dessus, p. i7a, Parler QUE, et à l’introduction grammaticale l’article Ellipse.

QUEL.

Voilà quel est Paris présentement, mais il changera de face dans quelques mois. (1726, 111, io3.)

QUERELLE.

Son valet de chambre (de l’évéque de Nantes) avoit pris querelle dans la place de Saint-Pierre. (Ch. de Sévigné, X, 435.) QUERELLE d’Allemand

Vous ne mefaitetcette querelle d’Allemand que pour vous donner tout entier à Mlle de la rergne. (Autogr. I, 374.)

Si cela nous ennuie (de nous écrire sans nous gronder), nous serons toujours sur nos pieds pour nous faire quelque petite querelle ^Allemand. (B. II, 65.) lit t ï

QUESTION.

i° Interrogation, demande

Si vous ne répondez à cette question, je la demanderai à la petite personne qui est avec nous. (1726, IV, 3ao.)

a° IL EST QUESTION DE OU QUE, il s’agit de

Rien ne se tourne du côté de la paix. renions nos grains. Tout