Page:Sévigné - Lettres, éd. Monmerqué, 1862, tome 14-2.djvu/598

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5go EXTRAITS DES LETTRES [POl

POINT.

Faites-moi la grâce de dire à Monsieur le Comte mes sentiments sur le point de la chevalerie. (Corbinelli, VIII, 4r<>.) Le comte de Grignan venait d’être fait chevalier du Saint-Esprit. Vous ferez une bien grande œuvre de charité de remettre les choses dans le point de la justice. (Mme de Simiane, XI, 166.) POUR.

i° Quant à

Je n’ai rien à dire à la goutte; mais pour à mes épaules et à mes bras, j’ai fait l’expérience d’un remède nouveau. (Coulanges, X, »a4-) Voyez ci-dessus, p. 240, PouR, 4°.

2° Poun. QUE, quelque. que

S’il se plaint à Écho, je crains bien que, pour prête yn’elle puisse être à lui répondre, il n’ait oublié ce qu’il lui aura dit. (Mme de Villars, III, aa5.)

POUSSER.

Il (le cardinal et ’Estrées) s’adonne fort à venir ici les soirs, et j’ai été assez peu polie pour le prier de ne les pas pousser aussi loin qu’il faisoit. (Mme de Coulanges, X, 5oG.)

PRÉCIS, substantivement

Je me dispose à fuir. c’est-à-dire le monde d’ici, qui est le précis de toutes les malédictions. (Corbinelli, VII, 185, 186.) PRENDRE.

On prétend qu’il (le prince d’Orange) a pris cette conduite sur celle que nous avons eue à Dixmude. (Mme de Coulanges, X, 3o8.) SE prendre à

Ne vous prenez qu’à vous-même de ce que je ne puis obéir au premier commandement que vous m’avez jamais fait. (Scarron, I, 371.) PRESSE.

On dit. que la presse est grande à qui épousera ce joli héros {le duc d’Uzès). (Mme de Coulanges, X, 456.)