Page:Schwob - Mœurs des diurnales, 1903.djvu/156

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— Je sais par expérience, me dit-il, les difficultés contre lesquelles les Apelles et les Périclès en formation ont à lutter.

(Le Journal, 15 novembre 1902)[1].


Nos lecteurs y verront défiler, comme en une galerie, ces belles « Dames du Temps jadis », que Ronsard regrettait en sa ballade fameuse.

(Le Gaulois, 13 mars 1903.)


L’illustre auteur anglais Berboom Tree est arrivé hier, tout exprès, pour assister à la représentation et repart ce matin après avoir eu une entrevue avec M. Bataille[2].

(Le Gaulois, 17 novembre ; le Temps, 18 novembre 1902.)

  1. En Amérique, d’où nous viendra bientôt la haute mode, et qui nous a donné cet hiver la danse « fashionable », le cake-walk, le journalisme est compris de la même manière :

    « In France, there are sold every year of Feuilleton’s works, 50.000 ; of Daudet’s, 80.000, and of Zola’s, 90.000. Hall Caine received outright a check for $ 50.000 for The Christian. »

    (Litterary Magazine. New-York, septembre 1902.)
  2. S’agirait-il ici du même personnage ? « M. H. Beerbohm Tree, directeur du Her Majesty’s Theatre, vient d’acheter le droit de représenter Résurrection à Londres. Il compte donner sous peu la pièce de M. Henry Bataille ».
    (Le Figaro, 23 novembre 1902.)