Page:Segard - Le Mirage perpétuel, 1903.djvu/88

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Je m’enivre à saisir l’ingénieux dessin
Du thème mélodique où le chant s’ingénie
À faufiler d’or clair l’incessante harmonie
Des basses dévidant du brouillard doux et fin,

Et mon plaisir parfois d’ordre géométrique
Scrute l’orchestre ainsi qu’une démonstration
Où j’écoute chanter dans les vibrations

Des nombres ignorés l’accord mathématique.