Page:Tanner - James, Memoires de John Tanner, vol 2, 1830.djvu/249

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

droit vers son pays, comme nous l’y avions engagé, il s’était caché dans les bois à quelques centaines de verges de notre cabane. De sa cachette, il avait entrevu la visite des deux jeunes hommes, et il ne leur supposait aucun projet hostile. Ils lui pressèrent la main, et le traitèrent avec une grande bonté. Nous acquîmes bientôt l’assurance que tous les bruits répandus sur leur dessein de le tuer n’avaient aucun fondement.