Page:TheatreLatin1.djvu/100

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Aris. Pilflû, 0S6S·Iu bien l'li8I‘ qué U1 S0iS T)/H- Tyît. Ne CESS6l'3S·Cl.1 [DAS (lc DIE X'6pI`0Cl)8I‘ U10!] dure? esclavage, où le sort des armes m’a jeté? T!/fl C*"'l€S« JÈ 6 m€~ _ Ans. En vanté Je ne puis plus me contenir. A ‘ °

 gîsûiîîzlgtïîeîllê °È Pl"l°°'“*“? Tyn. (à Ilégion) Hein! Entendezwous ce qu’il

.' 1 ‘ J. , ' dit? fuyez ou faites-le lier : autrement il va vous ÃTZS. (G H€glOn.] Vous le croyez? assamir àconps de pierres H05}- PlllS QUG VOUS let que moi-même : car le ANS Je Suis la S . ' . · . l . Tyndare que vous prenez pour cet homme-la est _ ii upp me · · retourne aujourdhui même en Élide chez le père . TW" S65 yeux S enmmmeml dw °°rd°S’ H°g'°"* de (remi que vous ,,0,‘.6z_ vite des cordes!' voyez-vous tout son corps se cou- mi. Quel père mimais ann en minima rm dé tache l·_*··l¤S· fe We vw le ¤>}¤=v¤m€· est un eSc1;,m_ Ans. Pour toi, coquin , si ce vxeillard fait bien, il Iiynn qui parles, “’aS.tu pas tout à tout te fera tourmcntgt par la POIX ardente et ia torcho esclave et libre? J’espère aussi recouvrer la liberté, dv 1>¤¤¤¤¤¤-

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si Je pariiens a la rendre au fils d Hegion. Tw l ünalaguü déja · Son maë mmlm est Aris. Quoi, misérableltu te vantes d’être nélib1re· È" Pfolê ÉW f‘"'l‘§S· _ _ Tyn. Je ne dis point que je suis libre, mais [199- Sllc lclülsüls lm`? Pliilocrate. T yu. Ce serait fort sage. Jris. Qu'est-ce que cela signifie! Hégion , le fins- ·li€m`llS€ de “’llf'°"` Pas une Plfme PO'}? fourbe vous prend pour dupe. Il est esclave, et nia fall? Santa? la C"V€ll° il C9 m¤r¤¤d *1*** veut ms jamais eu à son service d’auti·e esclave que lui-même. fülœ PBSSBT Pour l`0‘·l- _ Tyrz, Parce que dans ton pays tu es un gueux, TW- Il Cllêfclle une pierre, Fentendez-vous? qui Il`3 ni pain Di asile, tu veux que tout le monde AN8. H8gl0I1,]’£|llI’EllS UI) 1'I`10lZ Cl VOUS dltû C11 SE- tc ressemble. Cela n’est pas surprenant, les pauvres ¢1‘€î-’ _ _ _ _ _ d'0rdinaire sont malveillants et envienx. I1cg· Parle de la ou tu es, Je te prie; 1'eutends x/ris. Hégion, gardez-vous de le croire légère- fort bien de loin. ment. Car ou je me trompe fort, ou il médite un Tyn. Oui, car si vous Papprochez, 1l vous sau- exploit digne de lui. Ce qu’il vient dc dire qu’il tra- tera au visage et vous arraehera le nez _]usqu’à la vaille il racheter votre fils, ne me plaît nullement. l’ûClI1€· I l · Tyre. Je sais bien que tu voudrais que cette af· Aria. Hégion, gardez-vous de croire que Je sois faire ne réussit pas : feu viendrai E1 bout cependant, nx fou, m furieux, ni que Je l’aie Jamais ete, m que avec raide des Dieux. Oui, (montrant Hégion) je je sois atteint du mal qulil v0us·a'd1t._Pourtant si lui rendrai son fils: en retour I-légion me rendra à vous craignez encore, faites-moi lier, _)’y_consens, mon père à qui j’ai envoyé Tyndare pour négocier pourvu que vous fussiez lier aussi ce coquin. lëchrmgg,

Aris. Ce Tyndare, c’est toi-même. Il n’y a point en Élide d'autre esclave que toi qui porte ce nom.

Tyn. A merveille, ordonne; qu'on le lie, puisqu`il le demande.

Aris. Tais-toi, Philocrate manqué,je te ferai re-

Ta negas Tyndarum esse? Tynd. Nego, lnquam. Aria!. Tun’ Neque przeterqte in Allde ullus servon lstoc nomine ’st. · A ie p|,uOCm«,m asse my ses Tynd. rergin servom me cxprobrare esse, id quod vi liostili Tynrl. Ego, inquam. A·rist,(ad Hegionem;) Tune huic ere- 'obhqil? esa dis? Heg. Plus quidem , quamtibi, aut milil. .4nst.Enimvero jam nequeo conilnerl. Tynd. Heus? audln Namille quidem, quem tu esse hum: memoms, hodie nine J1 iquidhaip? qpipl lmdbm mi i mm mm b;·;A1·d,,m .m llic ei no 1 5 1 i . 1 l Aapîmëm1;¤j“5_,;,55;_Q,]BmpatrBm Iqnjsuvosesrgrynd, Conpreheptü alrist. Cruclor. Tynd.’ Ardent ocull, (une Et. tu uidrm 0pu’s , agro, Servos, et(iiber l`u.isti ,et ego me conlido fore; Vider? tu illi niacularilcorpus toium macnlis lnrîdis? 590 Si hnjus huc reconciliasso in libertaœm illlum. hîo Mrn bills agltut lwrmnem. Ans!. At, pol, te, si ine sapiat, Arist. Quid ais , furcifer? tuu’ te gnalum memoras liberum? FGQEX, _ _ _ Tyud. Non equldrm me Llherum, sed Plnlocrutem essu ain. Atta pix agitet npud caruulicern , tuoque eapitl mluceat. Avis:. Quid est? ïïmd. Jaun delirnmelufa loquilur; larvm stimulant virnm. Ut scelvstus, H¤·gio,nunc iste te ludos fecit! flag. Herclel quid si hum: conprehendl jusserim? 1'ynd, Nam is est servos ipse , neque prœter se unquam ei servvs A îülêë mflggî-apîdem mm haben me ut mi müügm fuit. ris . rueio · I grymi, Quan mm ipso eggs in patrjg, min nm, qui vives, Cerehrum evcutîam, qui me iusamxm verbls eoncinrmt suis. domïst, 575 Tynd. Audin’ lapidem quazritare? Amt. Solus le solum Omnris inveniri sîmiieis tibi vis; non mirum fncis. f'0l0» _ _ _ _ _ mm list miseroium , ut malevolcnteîs Sint aiqueimideant honig. Hegro. Hv;7. Isimc loquere, si quid v1s;procultame11 audiam, Arts!. Hcgio wide , sis, ne quid tu huic femme inslstas cte- Jfynd. Namque, edepol, si adbites propius , os denasabit tilii rime. Mordicus. Arm. Neque, pol, me însanum, Hegio, esse Atque, ut prempicio , profecto jam aliquirl pugnze edidit. crcduîs , Filium tuum quod redimere se ail , id neutiquam mi planet. Neque fuisse unquam, mique essc morbum, quexn islic au- Tyml. Sciote id nollelîuriz eciiciauu tcuneu ego id, si D1 ud- tome!. . 000 jnvant. 581 Verum, si quid metuîs ame ,5ube me vinciri; vaio, lllum reslituam huic, hic autem ln Aliilem me mec patri. Dum istic itidem vineiatur. Tynd. Inno enim vero, Hegio, Propterea ad patrem hinc amisi 'Pyndarum. Aria:. Quiu, lsüc, qui volt, viuciatur. Arial. Tana modo : ego te, Ph1·· tuto is es, locrates