Page:TheatreLatin1.djvu/144

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I, I CASINA, AC PE Ill, SCENE V. 1 U SMI. Et moi aussi. Dites·moi im peu, excellent suis anéantie! mon cœur se glace d’ef£roi! Malheu- ami de uoi vous avais-'e char é? de quoi vous reuse! tousmes membres frissonnent! `e ne sais où » (I S E J avais-je prié? Il°0U\`€P SOCOUTS, asile lprotectionl Quel prodige ai-je Alces. Qu’est-ce? vu! quelle audace mooie! Prenez garde à vous, Cléos- Stal. Avec quelle complaisance vous avez mis trate, éloignez-vous de cette megère, de peur que sa votre maison à ma disposition! Comme vous avez furie u’eelate sur vous. Arraohez-lui son poignard; conduit votre femme chez nous! Vous m’avez tué! elle ne se commit plus! vous m’avez fait perdre la plus belle occasion! f -Sml. Qu’est-ce que cela signifie? pourquoi s’eu· Alcés. Que ne vous pendez-vous? Ne m’aviez-vous !1lî·€llG GIDSI, tremblanœ et demi morte de frayeur? pas dit que votre femme viendrait inviter la mienne? Pardahsca! Sm!. Elle m’a assuré qu’elle y était allée, et que PMU- JB suis perdue I Mais-d’où vient la voix que vous n’aviez pas permis à votre femme de sortir. fentends? Jlcés. (Pest la vôtre au contraire qui m’a dit Mal. llegardemoi. qu’elle n’avait pas besoin de son aide. Fard. litou maitre! Stal.? Comment! elle m’envoie ici pour la rame- SMI- Qu 33-tu, pourquoi cette frayeur? ml- avec moi! Pard. Je suis perdue! Aicés. Je ne vous écoute pas. Stal. Comment tu es perdue? Sfal. Vous me perdez! Parc!. Je SUIS perdue, et vous aussi. Alcés. Tant mieux! Oui, je vous le dis tout franc, SML EX[1l1que-toi, que veux-tu dire? je voudrais vous faire encore plus de peine. Vous T’M”d· Malheur à vous! n’aurez jamais autant de tourment que vous m’en SMI- Mëlllleur 3 toi-même! avez causé aujourdhui. Que les dieux vous ester- Pf¤‘d· Je VMS tomber; soutenez·moi, je vous pm, minent! voilà mon dernier mot. l Stal. Quoi que ce puisse être, dis·le-moi sur-le- Stal. Voyons , euverrez-Vous votre femme chez champ. ‘ moi? ' _ _ P€l1"d· Voyez oomme le cœur me bat! Faitesanoî, _4[œg_ Einmenez-la , ct allez VOUS faire pelldre gd *0115 prie , un peu de vent avec votre manteau, avoo elle, ainsi que votre femme et Votre maîtresse. 5;a]_ Je trembler qua] évéuuuuuu GSHI anivé, Allez, et occupez-vous d’autre 0h0Se. Je Vais faire à moins uuu quelque venu de vin de Libye nvau sortir ma femme parle jardin, pour Se rendre chez frappé Sou œwuuu! Vous- Pard. De ace soutenez-mo'1 5ml, Je reconnais là enfin un Véritable ami. Quel ,ç;ag_ Va tîuîré pendm| que ie; t·uxuu,mi_ oiseau fatal m’a mis cette passion en tête? Qu’ai-je mm avec mu cœur les 0 ul · , · , W , Y _` _ , Ire es,ettatete.Situue fait àVénus pour essuyer tant de traverses . Oh. oh. me dls a pmsmm ce quid y a je te umds la œrvcue · ·• ' 1 . . . , ’ r . . ' quel h1`¤1'€J Cllœïlds îÉ*!1îiEmü*S°n· mîlàldlîî Epereu pour t apprendre a te jouer de m0;_ S E « V_ ar . onc er maître! , Stal. Eh bi ! , v _ PABDALISCA, srrmuoiv. Pm, V0uS°’;te;";î;“`Q⧣t ‘1"° ‘°"* lu? Fard. (cz part.) Je me meurs . je me meurs! je Sial. Tu es une heureà parler : quoique ce soit, Sm!. Ut bene vacivas œdeis fectsti mihl! 675 Membra miserœ tremunt! nescio nude auxlli prœsidi 60 » Ut trnduxisti huc ad nos uxorem tuant! Perfugl ml, aut opum eopiam conparem, aut expetani. Satin' propter le pereo ego atque obcasio? Tama factis modo mire veris modis întus vidi Atc. Quin tu suspendis te? uempe tute dixerns, Novam atque integram audauiam : cave tihi Cleostrata '1`uam arccssituram esse uxorem meam. abscede ' i sm, Et-go srcessivisse ait sese et dixisse te. 580 Ab"1 bs ai li · 5 · a gam uon missurm;. fl; Qàuiré, en lpsa ulm; mm DIÉ; ài âîzîsngî (àl}; Szàgînpzîlunfâpercxt . 60; t ra s or r. · . . . Sàgêavèuîiuîeîpîpsa me mlegavm qui mam uœsseum- Stuluïpuiitqupgsït , quod hœc huo timida atquo exammala Alc.b(â;;iu§tnil1ili facio. Stat. Quin, meperdis. Alc. Quln, Pmdaus Pam; Peru, Unde meœ usmpam autels soni- ’ . . . . tum Quin, etiam din morabor qum, cupio tuba, ses . Quin, aliquid œânip faoere, quiz: facmmlubensu · Stalîiââlgœ müdû ad me- Purd. Here mi, Sm], Quid Nunquam tibia `e« quin »e1·i plus quamm u. , _ i N, Quin, |;e¤>1e,diteperdant postremo ciund•:m· gl;'} u"Édd“ °s? [ig'? P5'? _i _ i i I _ _ SML Quid mmc? mmurusne Eswmc ummm mam? . Quit `,hu’e1;st1d vwr :b un , et tu pernst . S a . Aptri, Arc, Duças, easque in maxumam malam crucem, seo Iq“‘ 1 W · , œ t' d °'° Cumqug hat; , cumque istac, cupoqlue antica etiam tua., Sm :30 pû · NG G51 dm , amabo, [ane me, — · ; g um ussero · _ _ _ · àggtîjjgtggygrce uoàiïgîîl ;;0,.emluam_ (,,,,,0 Eloqàitpliâupiim cito. Pan!. Conline pectus, face ventulum, St L Num: tu mi amiens es in germauum modum. _ » _ (ma ego himc amorem mi esse uvî dicum dqtum? 595 Pellgcfàeh Tlmw mc UEBOUUU1, quid est. ¤iSl DE |¤€· A t id n et alfeuerein inique eœrirn _ _ , Qiioiqsiie trîâirnzigdamiolîviam evenlsut moruz? i $0 \15I>1¤!¤ 1J8l‘C¤SS\t flore Llbyco. Purd. Obtlne am·e;s_ Mate, quid illuc elamorls, obsecro, in nostra domo ’st? Smli=";‘îb¤· I cem Noms muy mput mlm G . n maamcru · , is · I SCENA QUINTA· perdulut. i ’ ’ 8** PARDALISCA, STALINO. Nam nisi ex te sdmquldquîd hoc sil. o!to_.J¤m Ubi i¤t¤= Parc!. Nulle sum, nulla sum! tata. tota obcidl! cor melu Cercüplm dispercutlam, excetra tu, ludilarlo, pessum mortuum ’st! °°