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CASINA`, ACTE IV, SCÈNE IV: ng Pard. Jevais où ma maîtresse nfenvoie. Qlymp. Vraiment. si vous étiez un cheval ,· vous 6`tal. Vraiment! ` Seriez indomptable. Pam!. Séneusement. t I Stal. Pourquoi cela? Stal. Que viens-tu espionner ici? Olymp. Vous êtes trop frîngant. pard. Je rfespionne rien, _ _ ` Stal. M’as-tu éprouvé? 5ml. Va-t’en. lufamuscs ici, tandis que la dedans Oiymp. Le ciel m’en préserve! mais la porte fait les autres travaillent. du bruit. On sort. pwd, Je m’en vais. _ Sfal. Les dieux veulent me sauver : je sens d’ici Sm!. Pars donc, maudite créature! Elle s’er1 va. CaSma_ Je puis parler librement. Quand on est amoureux, SCÈNE IV on a beau avoir faim, on ne pense pas à souper. L · Mais je vois savancer mon cher compagnën. mqn DEUX SERVANTES, OLYMPION, STALION, ·' ' l ie t e . . ., É-‘lS$°ï° d€d,';“;îE°â1à&nf:i'I;r°nn° sur a 6 Levez bien les pieds, nouvelle mnr1ee,de peur de am W1 Y ` · heurter le seuil (1); commencez heureusement le SCENE IIL Toyagp, afin de siurvwrea votre mari, d’être toujours a ma tresse, et e maintenir votre pouvoir au-dessus OLYMPION, STALINON. du sien; de sorte que votre mari vous habille tan· Olymp. Allons, musiciens, tandis que la 00m- ' ÉhSq“°v°É1S1îidîp°mHemz°n 1`°È°m" Ébubhcz Page pagnie conduit Casina, hors de la maison chantez se mus Pmv 6 °f*`°mP€*1¤_""—**€ll€J0¤P- ce beau jour, et que mmc la place œmmsse des h Olgilmp. Elle sen repennra, pour peu quelle doux chants de Phyménée. (ll chante) Io! io! hymé- rgïcîl °;I3iS mi ’ née! ` ` ' . Sm!. Que fais-tu, mon meilleur ami? ïlëbgîësoïîux lm me mlm- Ol . J` ` ' rand faim e `e n’ai as le tem s · , ' _ d,av0?;"£,f_mS1g qu J P P Olymp. Ces mechantes femmes lui dorment de Stat. Et moi, je brûle d’axnour. meme? cmlmlsà ' H _ , _ _ Ol?/mp. Je Suis peu Sensible à votre tourment d ai . esuis per u; eu esvoplî detruire tout le fruit quand mes entrailles murmurent d'înanîtî011· . 8 Ea Iîeme ‘ ce ne BE le Èm * C wi de œndm 51'al. Mais à quoi s’amuselà dedans la future? On mu , °S °S m°Sm`°Ã]îl“° lm li’“S°î· dirait qu’elle le fait exprès. Plus je la presse, moins recgiârsfggîlëîousg gms = 0 Ymplim • W¤l€Z·\'0¤8 elle se hâte. ' Olymp. Si je chantais le chant nuptial? O]!/mP· D°'m°Z‘1a'm°h $1 Vous Y 00¤$€¥1î8Z 8I1lîI1· Starî. Je te le conseille z je faccompagnerai; la Sm- (mfœ “"”“"t”) B9îm`€¥· fête est wmmunà ja l'î.(ll;aSc[st·iènnocente et novice 1 epargnez sa pudeur, Olymp. (chantant avec Stalinon ) ' , . . Hylnénéep hyrnénée ! IO! hymen! OD UC lûllbllêïü PES. Aillêll. Stat. Je suis exténué de chanter l’hymen! Encore “ · °z· si e’était en le célébrant d’ime autre manière! (exams mm. Forras exirudunt mulieres. Stat. Quid tu heic agis ? Caniando Hymenzeum licet; illo morbo , quo dirumpi cuplo, Pard. Ego eo , quo me ipsamisit. Sm!. Veron"! Pard. Serlo. Non œt ¤0P1¤·. 0lymp· Edeool, nœ tu, si esses equogi me; Stat. Quid heic speculare? Pard. Nihil equidem speculor. S lindomebihs to? Ol N Slal. Abi. . ta . Quo argumen ymp. imis Ienax es. Tu mic cuncm, mtus am 5m;¤an;_ pan], Ea Sm!. Num me experius uspxam? Olymp. Di metlus faciant. Stat. Abi hina, sis , ergo, pessumm-um pessuma. 725 Sed crcpuit osuum, eiutur foros. Iamnc nbiitillœchlicere heic quidvis tient. Stal·Di, hernie, me cupiunt servatum ; jam obgluü gagna Qui amat, tamen, hercler si esurit, nullum esurit. |>1‘0C\x|· 745 Sed eccum progreditur cum corona et lampada SCENA QUARTA. M°““°“"“' °°"p"’°°“"‘“'"“‘ "mms' ANCILLJS ou ouuero srsrmo 4 SCENA TEKTIA. Ane. Sensim super adtolle lîmen pedes, nova nuhta : sospes 0 LYMP,0 ST MAN 0 lter incipe hoc, ut viro tuo semper sis superstes , algue _ . ’ ' Ut potîor pollentia sis, vincasque virum , victrixque sien , Olyçnp. Age, tiblcen, dum illam educnnthuc novnm ¤\1l·>(¤¤1 Superetquc tuum imperium; vir le vestiat, tu virum despo- · oras . 730 lies. îuslvi cautu ooneelebra. pmnem hane plnteam hymenœo. 9 Nocluque et din ut viro subdola sies, obsocro mcmentodw 0 ymen ymonœei io iymeu!StaL·Quid agis , mea salus. Ol z . M I . h I , inli ’ ° Olymp. Fâuriu, hercle, nique sdeo huuzl sitio. Stal· Al ego Wpâœsîiz mamma Sm Bm 8 mi um mmumm amo. lymp. At ego hercle Stal. T . Ol .N . . B, Nina: two tibi, amor, pla-ien; iriihi inanitata 1:4 maaiêemalgzînsëgnïcw Sm Qnœ M? mymp"Mn1 Jamdudum intestins murmuramt. Stal..Naun quid illœc uunc St L P. "! ' t f ` tl ihi a i 'âüurgîiu intriï nellppratiàr, quasi otpliudusëianli? qualmo cpp lduquœïïnëës îlîï:1 hânzîoâfgm î:c?aKïa;:;r°ï;' l ropc , n I! minus. ymp. ui ,sie`am 0 — Olympe, ° fundam hymemeum? d is ` an a is Stat. (Jensen. Et ego te adjutabo in nubtiis conmunihus. Qu&2;g%,vda’ml;;0rem admpe h U Mb ' Olymp Dx; 0tymp."(Bmi» cms;.) Iîlymen liymenœe! io hymen! Ste!. Si unquam estis hodic uxore . Slal. Abite intro. Au. Pern ercle , ego miser ; dirumpi 769 Amabo, iotcgrœ atqua