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EPIDICUS, ACTE IV, SCENE ll. ,99 Phil. Je me porte bien, puisque je vous vois. Phil. Que je lui donne un baiser-? P;'r‘¤7Jh· D¤l11}cZ·¤10l lil main- _ ` Per. Pourquoi non? à celle qui est née de vous? 'P ill. ia voici . vous serrez la main il une femme Phzl. Vous etes fou, bgnlmmms desespéree , au comble du malheur. Périph, MO; p Périph. Comment? et d’où vient ce trouble de Phi], 0ui, vous, V0U`€ '•'î$ü€€?·-· _ _ Périph. Pourquoi? Plqil, La (ille que j’a1 eue de vous ···· Phil. Parce que je ne sais qui elle est, que je ne P€fîPh· Q'} BSVCHB d¢V$¤\1€?_ la connais point, que mes yeux la voient aujour- Plul. Jel ai perdue apres avoir élevé. son enfance , 4 hu, pom- la première f0iS_ ell; îzmrlïlfëü 811 lüfllvülf :․¤€tml8· 1 V · Periplz. Je devine la cause de votre erreur. Son erzp . raniquiu ISEZ vo re mee conso ez-wous . h;;bL|]emBm’ sa mmm la chmlgelm elle est eliez [U01 saine et sauve: aussitot que _] ai su phil Un Sanglier et un chien nyom pas la même par mon esclave qu’¢îl€ ëülîl PYî$911¤Ãè1`¤ • lm d°¤· odeun Je Soutiens que je ne la oommig point. né sur-le-champla Sommè l18¢}CS5¤11‘€ il se rançon- ll Périph. J’cI1 pl°€DdS il témoin le ciel et la terre. S 9Sî ¤<¤1¤lll€,}<:€ lüê ¤<>;¤¤`¤¤S§1°¤ ïvfîë büîuœug, de Quoi ! je serais devenu marchand d‘esclaves? hi des $È'ud_@n°° cid oîlî œëlvtgàglque B lP°n asse Ol" élî1'£1I1g8I‘S dülîls mil maison. J’eng1out·irais mlm gi-. ‘"‘"€*’ mîz '”"° "S. *9 ,· . gem a ce mener: to la muszezemœ.; pourquoi mm,. P}izl. Fa1tes·laiam<;1 VOI!'. jelsous Itîtuâ Ca th ` palm. mn père et mwmbtasser? Tu restes là dam air f _P”"‘l°}‘; ("PP"ml”· 1É“'â”°; va;) ° _ ·l H _a""· stupide. Pourquoi gardes-tu le silence? l l . . sigle; venir ma e 1 es is, a in qu e 0 voie sa ,?,2sbCE\:e:Du1Bz_(ïâuS qï Jejhse? ‘, . . mp . e e emme 1 qu’c e n est pas ta mère. Phil. La vie revient enfin dans mon âme. La mus. mm ne 1, en empêche. Elle mm hmm

   dire, je Il en $81*211 [HIS m0ll1S la llllù de ma mere.

° Il n’est pas juste que je la contraiene à l’être, si ell LA MUSICIENNE, PÉRIPHANE, PHIPIPPA. ne le Veut PaS_ · _ ° B La mu3_ Pourquoi, mon père, mg fajtcsqyous Alors pourquoi m,8ppÉlGîS•tU ÈOD pèfü? venir devant la maison? mus. C’est votre faute et non la mienne. Pour- Pénpk. Pour voir ta mère, aller à sa rencontre, q¤0l DE V0¤S ¤PD€U€1'¤1$jJ8 DHS mon pere, quand vous la saluer et l’embrasse1·. m’appelez votre lille? S1 cette femme m’appe1ait sa La mus. Comment? ma mère? lille, je Pappellerais ma mere : elle prétend que je Périph. Oui, une lemme qui tout épordue brûle ne suis pas sa fille, donc elle n’est pas ma mère : de te voir. I décidément ne- vous err prenez pas à moi. Je dis ce Phil. Quelle est cette lille a qui vous ordonnez de qu on m nappr1s;c est Lpidicus qui a eté mon maitre. nfembrasser? Périph. Je suis mort! je suis dans un précipice! Périph. La vôtre. La mu:. Ici, que est mon tort? Phil. Celle-là? Périph. Malheureuse! si jamais je t’cntenrls Périph. Elle—même. · m’appeler tou père, je t’arrael1erai la vie. Pgripk, Cgdo manum. Phil. Adcipe : œrumnosam et ml- Phîl.Tu, homo, lnsanls.Periph.Egone? Phz’l.Tu|e.Pgi··ip};, serinrum oonpotem 535 Cor? Phil. Qula ego ham: quœ siet, Muliemm retines. Pcriph. Quid est, quod voltus te turbat Neqnle sciqà mique gnovi, ngqug ego mmc œuüs vid; am, tous? une em. Phil. Filiam, quam extesusccpiu. Peripli. Quid cam 7 Phil Peripli. Solo quid erres, quia vestitnm atquc ornetum lnmu- Eduetam perdidi. · · tuhilem. Llostîunî estfpotlüb PMP)'-- H¤b¤ ¤¤¤î¤¤¤1 lmümi ü W""' gühct lime. Phil.A1lter catnli longe olent, allier snes: nego `I um ane: m ga _ · _ . a _ Dûugulîlüœ EOUZJID SZIIVZIIII et sanam 2 Iiâm p0SI`,qtlAl11 àljdîlll anuïîséemî quœ su Pcnph Proh dbûm tqug hoggs Mlm ' Quid? ego lenocinium l‘uelo* qui habeam allenos domi E m servoillzim asse captivant. oonünuo argentum dedi 540 E m ‘ _ ‘ • Uiomoïreiur : ille com rem adeo sobrie et frugoütee Amîtïïntm gmglœ d°m° p'°'""“m· Quid mv mlm Adcurnvit, ut alias res est iupeuse iuprobus. 1 , _ _ Phil. Fac videam, si me Vî8· Ptëriph. Eho, Canthara, statlm Tuutîczggü ma- aulne °“““ ml qmd Sm swlnda? quid [Hui:] Thelesüdem prodirc miam note œdeismeam , F1d.Q·u.1di0qu&tVu?P¢rtph.HœCncgalse tuamessematrem. Ut suam videst matrem. PM!. Itenngrnt nmmun mme ài; S_ Fid. nie fuagdm mc imm mmm cm mat à ü la neo ‘hi_ I l`t0|'I V0 1 dxlli l'l I . mum Im SCENA SECUNDA. Nonvxtqqismnc eogere œquom ’stmaam ease matrem, si ne FIDICINA, PERIPHANES, PHILIPPA. Periph. Cut mc lgitur palrem vocabas? Fid. Tue. istaec . · · I nn ‘ ` _ C\ll|)3 ’Sl. IIOD BICE- Fid.£u;daeî,mpî;q; quod me excivist te aedeis? Penph mm patœmicgo w nomînm, nm tu mam mc adpmel V`deas,adeas venieutl des salutem nique osculum. Miam? i _ . , B V rie. ooam nienm mauemv Pm-ipk. own exaoimsm me- Ham: quoque et am, si mïadwâiwm lâ tâeîli eeîlrgigr qoatoi aospeemm mom. mv Nesatagiü ülwm me ¤ em . 5 W · · m m' i · · . . . . . phtlhîgjâ îâhquam tu www lh ferte ju Posircmohœc mea culpa non est : quan didier, dixi ommo. Phil. Hmceine? Pariph. Haze. Phil. Egone osculum liuic Epidiuus mihi magister fuit. Pmph. Peru. planstrum pu:. dem? Pariph. Cur non, quœ ex. te gnatn sit? bw cult