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392 PLAUTE. Toac. Comme tous les dieux qui sont au ciel. Sag. Très-bien , tout ce qu’il lui plaira. Dor. En ce cas, vous êtes certainement mon en- Tex. (à Dordalus.) Tu restes muet! allons, répète nemî : car il n’y a pas de divinité assez bonne pour toi—même la demande, ann d’avoir pleine liberte favoriser les marchands de jeunes lilles. dadresser à la jeune (ille les questions que tu vou- Sag. (cz IJom’alus.) Au fait, avez-vous besoin drasgil m’a bien donné cette permission (1), mais d'aolieter cette fille? | ' jaime mieux que tu lui parles toi-même, pour qu'il Dor. S1 vous avez besoin de la ve11dre,je veux n’ait pas detoi une pauvre opinion. bien l’aoheter; si vous u`êtes pas pressé , je ne le Dor. T u es de bon conseil, ( à Sagaristion. ) suis pas non plus. I L · Étranger, je voudrais bien demander quelque chose Sag. Voyons , dis-moi un prix. à cette lille. Dar. Vous êtes le marchand, o`est à vous de Sag. Depuis la terre jusqu’au ciel, tout ce que fixer le priv. vous voudrez. Tax. (4 5agm·isticm.) Son observation est juste. Dor. Eh bienl dites-lui de s’approcher de moi. Sag. (cr D0rdalus.)V0us voulez acheter a hon Sang. (tt lajezme _/ille.) Avancez, et donnez-lui sa- marché? tisfaction. (ai Dordalusf) Questionnez, demandez Dor. Vous voulez vendre cher? tout oe qu`il vous plaira. Ton:. Oh! c’est1à votre désir à l’un et à Feutre. Tom. (a la jeune fille.) ,2) Allons, allons donc, Dor. Allons , dites votre prix fI`üUCllBl'IlBDt· vous ; avancez, et debutez sous d’henreux auspices, sag. D’abord je vous préviens qu’on vous la donne La jeune xîlle. Ils semblent fa vorables (3). sans garantie :savez·vous cela? Tux. Silence! (te Dordolus.) Eloigne-toi, je te Der. Oui : dites votre dernier prix, a combien la prie; je te Pamènerai. donnerez-vous? ' r _ Dor. Fais comme tu lejugeras utile à mes inté- Tox. (bas de D0rdalus.)Ta1s-toi, tais-tot donc; rêts. (Ils'ëIoigrie.) en vérité, tu n`as pas plus de raison qu’unenf21nt· Tex. (à tajeune fille.) Suivez-moi. (à Dorrlalus,) Dar. Comment? Je te l`au1ène. Demandelui ce que tu voudras. Tom. Pai-ee que tu dois d’abord interroger cette nor. tretemznt Toxile qui va pour se retirer,) Je lille sur sa situation. veux que tu sois là. Dur. Par Hercule! ie conseil n`Pst [HIS ltl¤U\'0lSl Tux. Je ne peux pas me dispenser d`être au ser- Voyez un peu, tout habile marchand que J6 SUIS, jè vice de notre hôte, ainsi que IHOII maître me I’a tombais dans un piège sans toi. Comme il est bon commandé, Sïlng veut pas que _j’;;55j5rg à cem, con- d’ëtre assiste d'un ami, quand on traite (l’ilif€|îl'BSl versntion? Tou:. (ctmlinuavzt ses anis.) Quelle est sa famille, _5ag_ yy Cgnggng vglgmigi-5, dans quel pays elle est née, de quels parents. .le ne VOUX pElS (]ll€ tu (USBS QUE t3’€Sï pîlï INES COIISEUS et tr) M. Nandet adopte un sens différent : u Va toi-même Pinlerroger, · Q ` H i i ie tu etais autorie A prendre tous les renselgn ni cnt u‘| sur ""?S 1““€‘"°“$_‘1‘f" tu ÉS °°"°l“ l“ë"""""` ‘ “° `Ã.§`,ÃLeÈÈ·mi.,a·»t.. wi vt mm quil au um cette ,.È.~.·Ãi.$iÃl.,`.. ll`l£]I‘Cl]C. (.4 St'(g(l?`lSÉlO?l.) Sl VOUS HC le ÈI`OU\'€Z PSS Lu suite nous a pam autoriser une autre interprétation. inîuvais, ilidâsire adresser quelques petites questions cefjâlggîpî*L‘;;f;fâ•>**°¤· v¤"·è¤‘= Pmèmhls, =·¤¤~•= à ¤¤¤1=l¤¤ 3 H _|€Ul'l€ l C. (3) La même version met ce trait dans la bouche de Durdalus. _ Dim!. Tnm tu mihi es inimlcus certus : nam generl len0· (ad S«w·|¤ti¤¤¢m·l Nisimolestunrst, percontnri larme parmis nia, hic volt. Sqg. Maxume , . _ · I Nunquam ullus deus tam benignus fuit, qui fucrit propi- Suo arlntratu. Fox. Quid stas? alu tule, atque ipse itidem tius. |`0"3· _ _ _ _ Say. Hoc age; 0pusne’st hac tilii emtu? Dord. Si tibi vœnis- Ut tibibpercontariticeat quœ tiens , gs: nph; 5 5 se’st opus Dixit dare potesta em ejus; se ego _ma o amen ’ 9 Mihi quoque einta ’st : sitibi suhiti niliil est, tanlumdem ’st Euin ipsum attire, ut ne oontemnut te ille. Dord. Sutis recto mihi. IYIOIIES. _ Sag. lndica, fac prelium. Dord. Tue merx est, tua indica— Hospes_,iv;>lp aigu banc pcrccnlzum Say. A terra ad cœtum , ( • [_ Mill quit uie . 1'0x.1Èi;u0m hic orat. Say. Vi.n’ bene eme;-e? Dord. Vin’ tu Dord. J nbedum ea htîcuaccenlut ad me. Say. (au vlrginpmj i polchre vundere? sane, ac morem ililgere. ' Tn:. Ego scio, bercle, utruinque velle. Dun!. Age, indioa PWCODMFE » €?f¢i;i;!'°`g:11;‘1 "l5· T’”‘· (ml ‘""$l“"'“·l Ag°· age . lu 1 · : prognarlter, , ."':"° .l ' , . v i .d , ' . i Sag. Prius dico: banc mancupio nemo tibi dabit 1 jam U 1;P'°(l;,"'° auSp“m°' mmc Lqm um si www uït; Sm? D""" S°l°· · . (ad nnîiiiuiiiîèoiiœde , sis; jam ego lllnm adducgm. Dom, Indica , minmno ilaturus qui sis , qui duci queat. Age, ut mm esse in nostram putap Tax. Tncc, tace, nlmls tu quidem, llercle, homo stullus es TDA Scquere me_ Adducû banc, ,5 qui,] Vis ex pac paco", puurillter. 585 taricr. Dord. Quid ita? Tax. Quln enim te cx puella prius percon- Don!. (ad Toxtlum a1>cunt«·m.) Enim volo te ndesse. Thu:. . tari volo, Hand possum , quin huic operum dem hospiti, Quœ ad pam re:';-runt. Dord. Et quldem, herele, lu me mo- Quoiçlierqs jussit quid si lieic nou volt me adesse una? nuls i ham male. ag. mo i mo o. Vide, sis, ego ille rloclus leno pmne in fnveam decidl, Tom. Do ego tibioperam. Dord. Tibî lbidem das, nhl tu Ni helc uclesses. Quantum cal Ltdlubete huminern auuicuru, tuum umicum adjuvas. 6Uii ubiquixl, gerusl Tux. Exqulre. (ad vlrgiucin.) Haus lu, advîgllu. Virgo. Solid Taz. Quo gc-nere, aut qua in patrie sit gnata, aut quibus est diclum: quamquam ego serva sum, parentlbus, ·. wo Solo ego opticium meum, ut qua; rogitet, vera, ut ach Ne tuners hnnc te emlssu dicas snnsu alque inpulsu meo. cr-pl, eloquar.