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LE PERSAN , ACTE iv, SCENE. Vil. sos T01:. Tu reviendras me trouver aussitôtchez moi que je crois avoir vu dans la ville un homme qui vous parla petite rue de derriere , en traversant le jardin. ressemblait parfaitement de figure ctdc taille. Say. Tu IDCTCCOUIITIGUÉCS ce queje compte faire. Sag. Sims doute, puisque c`est mon frère. Ton?. l\e va pas tlelnenager avec l’argent, je tele Do?'. Mais nous voudrions savoir votre nom. conseille. I Tom. (à Dordalus.) Qu`avons·nous besoin de le Sng. Parce que tu en serais capable, tu m’en savoir? I i H ' ' • · CFOIS Cîlpübi 8 tiSS1.^ ` Sflg. (lt D01·dalus.)Écoute donc, lit] le SZIUTZJS . Vil~ 70.r.. Pais-toi , trcve a ta langue; le gibier s’a- nilonpiasidoreu), viergevendi-dore (2), lîugipolylo- vanoe, 11 sort de son trou. quides (3), Argeutisoustractorides , Fastidiosiloqui- SCÈNE VI. dîsàlêisursesœxnotoridcs, Touioursprendés, Jamais- i . JEUNE FILLE. . ., · Aug. L est] usage en Perse: nous avons des noms Dur. (présenlantun sac dorgentà.ïagm·istion.) irèsdongs et très-compliqués. Ne désirez-vous plus Il y a la-dedans soixante bonnes mines tfargent, rien de mai? moins deux écus. Dar. Portez-vous bien. Sczg. Que signilient ces deux écus de moins ? Sag, Et vous aussi : mon âme est déjà sur le vais- Dor. Cest pour payer le sac (1 ); ou bien rendez-le seau. moi. I Dor. Vous devriez plutôt partir demain, et souper Sag. Tu avais grand peur, vilain ladre, infâme co- ici aujourdhui. Adieu. quin , de ne pas ravoir ton sat: , et de ne pas tc . . *. montrer ce que tu es, un vil marchand de lilles. b(»·h·NE VH- Tox. (A .S’0garisfi0n.) Laissez-Ie, je vous prie: . . , T l ’ . un marchand tfesclaves ,rxen ne doit etonner de sa OXILE ’ BORD ÀLÉÈÈEA lU“‘°N * 1* "EUN“ part. ' livr. ·l`H1 Cûmlïlëllûo lil _lUUl`U€€ Pîlrllüü Cïüfillëîiîë lux. (à Dordalaas.) Maintenant qu’i| est parti , je affaire; et ce bon augure me l`£^Ildl`3lÈ SPDSINB la puis te dire tout. lili bien! le jour qui te luit est plus petite perte. fiens , prendS·le , le tc prie. (ll un jour de prospérité. (montrant la jeune _/ille.) Zuzpïesëilfe le sac.) Nou , lu ne Faclxèles pas, ou te la donne. bag. Mets-le sur mon épaule, si cela ne t mcom- Dur. Il sait bien le marché qu`il a fait, en me ven- mode pas. dant a mes risques et périls une lille volée à ses pa- Dor. volontiers. (ll lui met le sac sur hqmnle.) rents. Il a pris mon argent et sien est allé 1 que sais- jag. (ct Dordaius et te Tonic.} Vous lle \0l.ll6Z je maintenant si on ne la réclamera pas bientôt? ou plus rien de moi? courir après lui ? en Perse? chansons (4)! Tox. Qu'est·ce qui vous presse tant? I Tor. .le croyais que tu serais reconnaissant du Say. .l`a1affz11i'e. (Jn m`a charge de plusieurs let- Sen-jœ qugjg gai ypmjw tres qu-il me faut pvrtrrà œmî aljœsêe Et pulslai (ri (Ju nmn riilivule ot les autres sont autant cïulluslons à la table î|])pt`|S QU6 MOD frere _lltmPIlll Blillt icl EH €SLîl£1\'llgC; dont le marclwnd est dupe. Beau diseur dc siens. . x _ I _:) Vi-n:r¢·ur de nlcrgex. Je YQUX le (.·ilCi'(-i\Èl' et ig nic lctcn (J) Grund dwscur du bagzilcllt-n, Tg_p_ P3; Pollux! vous mg rgppellëz fort à propos (il Lc umrirlzunil stiyiilauuit i-t si- plaint taur ai tour de son mar- ché, suivant |'intèrè|. du inousont. Ces varhitious ile langage soul (1) Ce Lrolt de Vrai marchand est d`un excellent comique, (im; nature] parfait, Tm:. Per angiporlum rursum le ail me recipiio G70 I Vidror vidisse heîc forma persîmilem tui, om lllac per Iiurlum Sng. Quotl l`uiuruIu ’>l., prtvdicas. lîadem statura. Sag, Quippe qui [raler siet. Ton:. At ne cum uruenio proiinam permulvs domum : Dord. Seal scire vvlimus, quot] tibi uonwn siet. Momo to. Say. Quoi! le ulignum ’st, uw di;;uum case \is. Tux. Quid aillinut nos sente? Say. Ausculta, ergo, ut seins ; TM:. TMO, plirce Voci, pruzdu pI‘0gr•:dil.l1i‘ lorus. Vriiiiloiiuitliirus , Virgiuisvrnxliiiiides _ Nuggipolyloquides , Ar·*enliexterclironides 69Ii SCENA SEXTÀ, ’l`<·digniloquides, Nunîorumexpailpoiiiilesl Quodseniclavripides, Nunquamposleaeripidcs. DOBDALUS, SAGARISTIO, TOXILUS , VIRGO. êlord. Heu, liercle, uomen multimodis :~crihlum’st tuum. . . i , · · -· . I ; .. in vw P¤>¤=i¤ hm ~#·¤¤ mh S~s¤···*9 we- *1*5 CLK»ÃÉîÈ,.îiÃLiiilÃîîn`ÉÈ.`É°ÈÈÉLqaiÈiîÉ.i`ÉÃma im Dmlhus mlmlâ mlm SL S“9' Qum i' "mm wlmll? Vnltis? Dord. Vale. Sug. Bt vos: nam animusin Ill1Vi'si|TlBi1S. Dord. cvummam haucemere, aut nievre ut remignetdomum. Umd cms nes mms hmm hem cœnarm pam Sag. Ne non sut esses leuo, id meluuhas miser, ' ’ ` inpure, avare, ne crumiuam amiiteres. SCENA SEP]‘[MA_ 22:;:. Sims, qnznsu : quxmdo li-no ’si, uihil mirum facil. 680 Dord. Lucro laclundo ego auspicavi in mmc diem : ·p()X¤,U5 , ])()m_)A|_,U5, 5AT\m|(), Vmçt), Nhîl mihi tam parii `st, ouin me ld pigeai paniers, _ I _ _ _ _ _ Age, adeupe hoc, sis. Say. Ham: in colium , msi piget, To:. Poslquam illlc abiit, nlicere heic quidvxs licet. lupone Dord. Vero iiat. Sug. Nuuiquid custcrum 8815 Nan hic libi dies iuluxit lucriiicabilisl Me voltis? 7`ox. Quid tam properau? Soy. itu uegotium ’st, Num non emisti liauc, verum lvcisti lucrl· U 2*06 Mandaiae qua: sum., x olo defcrre epislulas. Dord. lille quidem jam scit,·qu1d ncgo li gesseril, Gemiuum autcm lrnlrem servira audivi liuic meum, Qui mini Iurlivam mao periculo vendidit. I Sum go ut requiram nique ut redimam, volo. Argentoin adoupit, abut. Quid ego uunc sem 12:::. Atque, edepol, tu me communuisti tiaud male. An jam adseratur haec manu? quo illum si-quer?