cette loi obligatoire, toujours, sans aucune exception, ils devront reconnaître comme impossible l’emploi de toute violence, car aucun homme ne veut qu’on en use à son égard. Or, sans la violence, la sécurité de l’individu ne peut être garantie, de même que la propriété protégée, la patrie défendue, l’ordre existant maintenu. »
Dieu dit aux hommes : « Pour le bien de tous, partout et toujours observez ma loi : faites aux autres ce que vous voulez qu’ils vous fassent. »
Mais les hommes qui ont établi en 1901 en Angleterre, en France, en Allemagne, en Russie un certain ordre, hésitent : « qui peut nous assurer que notre situation n’empirera point lorsque nous nous mettrons à observer la loi que Dieu nous a donnée pour notre bien ».
Nous acceptons et ne craignons pas d’obéir à une loi faite par un groupe d’hommes, si étrange qu’elle soit, et si incapables que soient ses auteurs ; tandis que nous hésitons à obéir à la loi qui non seulement concorde avec la raison et la cons-
