Page:Tolstoï - Polikouchka.djvu/268

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lieu de meules, je vois, de mes yeux ouverts, une maison avec un balcon et le mur crénelé d’un fort. Cela ne m’intéresse guère d’examiner attentivement cette maison et ce fort : ce que je désire surtout, c’est d’apercevoir le corridor blanc, où je courais, c’est d’entendre le tintement de la cloche d’église, et de baiser la main du petit vieux. Je referme les yeux et me rendors.