Page:Vicaire - À la bonne franquette, 1892.djvu/33

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Qu’on se batte les flancs
Pour conquérir Chimène,
J’ai tes us excellents,
Ô poularde du Maine,
Ma cousine germaine.
Un pré sous le ciel bleu,
Voilà mon vrai domaine.
À la grâce de Dieu !

envoi

Toi, grande Melpomène,
Écoute cet aveu.
J’ai l’âme peu romaine.
À la grâce de Dieu !