Page:Vidocq - Les Voleurs - Tome 2.djvu/140

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136 SUR Le séjour des grandes villes est interdit aut libérés, et cependant ce n’est que dans les grandes Gilles que ceux d’entre eux qui exereent quelquesmnes des professions qui se attachent au luxe, peuvent trouver des moyens d’existence. ’ ils sont souvent envoyés ai résidence là où ils n’ont’ni parens ni amis ! Que’peuvent-ils faire ? ’ ’ Si la surveillance était cllieaee, si elle prêvehdit toutes les réoidives, je comprendraùîü qu’elle fût conservée, dut la mort de tous let libérés bons ou mauvais s’en suivre. Les intérêts particuliers doivent toujours céder W pas aux intérêts généraux ; mais, je ne crains pas de le dire, la surveillance ne sert abs9l¤· ment à rien. I I ’ ’ A On peut sly soustraire moyennant 100 Tf-En bonne morale, si on laisse subsister la surveillance, il ne devrait jamais être permissu libéré de s’en affranchir, car dans l’état actœl de notre législation, si les magistrats eb0\’8é’ d’appliquer les lois ontinlligé à un llûmmeh peine de la surveillance, c’est que prob¤b|°’ ment il la mérite. Eh bien, je le dem8¤d°· nest-il pas ridicule que la possession d’““°