Page:Vidocq - Les Voleurs - Tome 2.djvu/183

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TRl—’I’B0 179 ceux que je viens de signaler, sans cependant se laisser prendre. Après l’avoir cherché longtemps, je parvins enfin à le découvrir dans la rue du Dauphin, au moment d’Ine exécution. Il fut condamne à dix années de réclusion, mais il trouva les moyens de mettre en défaut la surveillance d’un bon gendarme chargé de le conduire àClairvaux, et depuis, on n’en n’a ’ plus entendu parler.

  • TRIUABD, s. m. — Chemin. u

TBIME, s. l’. — Rue. · TRIMCLE, s. m. — Fils. TBIMER, v. a.-Marcher. TROMBILLE, s. f. — Bête. TROMPE-CHASSE, s. m. — Art. TRONCHE, s. il — La Sorbonne est la tète qui pense, qui médite ; la Tronche est la tète lorsque le bourreau l’a séparée du tronc. Je crois qu’il serait difficile d’exprimer d’une manière à la fois plus concise et plus énergique deux idées plus dissemblables. TRONCHE (Cour nz). — Voir Cocmen. TROTTANTE, s. m.—Souris. TROTTEUR, s. m.-Rat. ’" TROTTINS, s. m. ·— Pieds. TROU D’AIX, s. m. —· Anus.