Page:Vidocq - Mémoires - Tome 2.djvu/109

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

trentaine, et que, de ce seul fait qu’elle reniflait du tabac comme un greffier ou comme un clerc de commissaire, on peut aisément tirer la conséquence qu’elle n’était plus de la première jeunesse.

La conversation allait se continuer sur ce pied, lorsque nous entendîmes venir du côté du port une troupe d’hommes bottés qui faisaient grand bruit en marchant. – Vive le capitaine Paulet ! criaient-ils, vive le capitaine ! Bientôt cette troupe s’arrêta devant l’hôtel. – Eh ! père Boutrois, père Boutrois ! appelait-on