Page:Vidocq - Mémoires - Tome 2.djvu/89

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l’apporte. – En attendant, il fait bon avec vous, père Dufailli, dit le fourrier. – Très bon, répéta le sergent-major. – Oui, très bon, pensais-je tout bas, en me promettant bien de cultiver une connaissance que le hasard me rendait si à propos.