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Au tapis de Montron.[1]
Montron ouvre ta lourde,[2]
Si tu veux que j’aboule[3]
Et piausse en ton bocson.[4] (bis.)
Montron drogue à sa larque,[5]
Bonnis-moi donc giroffle[6]
Qui sont ces pègres-là ?[7]
Des grinchisseurs de bogues,[8]
Esquinteurs de boutoques,[9]
Les conobres-tu pas ?[10] (bis.)
Et vite ma culbute ;[11]
Quand je vois mon affure[12]
Je suis toujours paré.[13]
Du plus grand cœur du monde
Je vais à la profonde[14]
Pour vous donner du frais. (bis.)