Page:Vidocq - Mémoires - Tome 3.djvu/101

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Au tapis de Montron.[1]
Montron ouvre ta lourde,[2]
Si tu veux que j’aboule[3]
Et piausse en ton bocson.[4] (bis.)

Montron drogue à sa larque,[5]
Bonnis-moi donc giroffle[6]
Qui sont ces pègres-là ?[7]
Des grinchisseurs de bogues,[8]
Esquinteurs de boutoques,[9]
Les conobres-tu pas ?[10] (bis.)

Et vite ma culbute ;[11]
Quand je vois mon affure[12]
Je suis toujours paré.[13]
Du plus grand cœur du monde
Je vais à la profonde[14]
Pour vous donner du frais. (bis.)

  1. Au cabaret.
  2. Ta porte.
  3. Donne de l’argent.
  4. Couche dans ton logis.
  5. Demande à sa femme.
  6. Dis-donc, la belle.
  7. Ces voleurs-là.
  8. Voleurs de montres.
  9. Enfonceurs de boutiques.
  10. Ne les connais-tu pas.
  11. Culotte.
  12. Bénéfice.
  13. Prêt.
  14. Cave.