Page:Vidocq - Mémoires - Tome 3.djvu/162

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

ass aâuonnis • intrigué que moi, et il s’en fallait que les sup. positions qui lui venaient à l’idée fussent favorables à la probité d’Hotot. A midi, selon l’usage, nous allâmes rendre compte de nos observations de la nuit ; notre rapport était fort peu intéressant ; le mot néant y était écrit toutdulong.’«Ah l nous ditM. Henry, ce sont d’honnêtes gens dans le Faubourg Saint-Marceau ! j’aurais été bien mieux avisé de vous envoyer sur le boulevard Saint-Marfin ; il paraît que messieurs les voleurs de ai plomb recommencent leur jeu ; ils en ont enxi levé plus de quatre cent cinquante livres dans un bâtiment. en construction. Le gardien, qui ° les a poursuivis sans pouvoir les atteindre, assure qu’ils étaient au nombre de quatre ; c’est pendant la grande pluie qu’ils ont fait le coup. — » Pendant la grande pluie ! parblèul m’é·• criai— ie, vous connaissez un des voleurs. - · — » Et qui donc ? q- » Hotot.. — » Celui qui a servi la police, et qui de-, mande à y rentrer ? — » Celui-là même. » ·. Je racontai à M. Henri mes remarques du matin, et comme il resta convaincu que j’avais