Page:Vidocq - Mémoires - Tome 3.djvu/189

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i, DI vinooç. III

doulcu1·, .ne tarda pas à exbaler sa plainte au sujet de sa rivale et des infidélité de Hotot.-C’est-il pas encore un fier lapin que ton Hotot ? des cochons comme ça —l ça mérite-t-il pas d’avoir des femmes ? Te faire des traits pour une-Félicitél entre nous, ce n’est pas le diable que Félicité, et si j’avais à Faire un choix, je te signe mon billet que c’est à toi que je donnerais la préférence.

— » Voilà encore Jules qui ba. ! (se moque). ° Tu prends ton café. Je sais bien que Félicité est méycurc (plus belle) que moi ; mais si je ne suis pas si gù·omIe (gentille), jîai un bon cœur ; tu l’as vu lorsque je lui portais Iepagne à la Ãorcqfé (la provision à la Force) ; c’est là qu’il a pu juger si’j’avais de la proéùté (bonté). — » Pour ça c’est la vérité, tu avais bien soin de lui, j’en ai été témoin. - s : West-ce pas, Jules, que j’ai tout faitpour lui P ce vilain rouchi (mal tourné) échignez-vous donc le tempérament ! Je me " suis-t’i dérangée une minute de mon commerceP Je ne crois pas qui y ait une centime à reprendre sur ma conduite ; une épouse légitime qui serait mariée, et tout, n’en aurait — » pas fait plus.-