Page:Vidocq - Mémoires - Tome 3.djvu/196

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101 HÉHOIBEB -·— » Ah ça ! vas-tu me trimballer jusqu’à de=• main ?. —¥ » C’est bon, " Jules, tu me refuses ! Ah ! mon Minet, fuse pas, fuse pas, tu verras que t’auras pas à t’en repentir.... Je te ferais ix plutôt une souris (baiser  » Le moyen rie résister à une souris ? Je me laissai entraîner dans la rue-Jocquelet, et là e grimpai à un sixième étage, où je vis Liuois, qui ne me v connaissait que de nom.’ Je cherche après Hotot, lui dis-je, vous ne l’auriez pas vu ? — Non, me ré pondit-il. » Et comme il était couché, je me retirai après lui avoir souhaité une bonne nuit.. Faut-il avoir du guignonl j’ai encore fait corvée ; ils sont venus, mais ils sont partis iai prendre Caffin qui doit payer le vin..... Où »* demeure-t-il, Calîfin ? ° — » Pour ce qui est de —celui-là, je serais bien embarrassée de le dire ; mais comme c’est un paillasson (coureur de femmes), je suis certaine °de le savoir aux femmes de la Place n’aux Veaux. Viens, ie t’en prie., — » Veux-tu me faires faire les quatrekcoins de Paris ? il se fait tard, -et je n’ai pas le temps.. ’