Page:Vidocq - Mémoires - Tome 3.djvu/197

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— » Je t’en prie, Jules, ne me quitte pas ; I les inspecteurs à lajïan inspecteurs ordinai’> » res) n’auraient qu’à n’emballer. » ’ Comme la complaisance était utile, je ne me I fis pas trop tirer l’oreille. Je me dirigeai avec Émilie, du côté de la place aux veaux, et, de canons en canons, prenant du courage dans cha=· que cabaret, nous volons ensemble à l’endroit ’ où j’espère compléter les renseignements qui, Q me sont nécessaires. Nous volons, l’expression est hardie, car, malgré le soutien de mon bras, Émilie, trop abreuvée, avait une peine infinie à(mettre un pied devant l’autre. Mais plus sa marche devenait chancelante, plus elle était com= municative, si bien qu’elle nie découvrit les plus secrètes pensées de son infidèle ; je sus d’elle tout ce qu’il m’importait de savoir sur le compte de Hotot, et j’eus la satisfaction de me convaincre que je ne nfétais pas trompé en le’ · jugeant capable d’avoir lui-même dirigé les vo·= leurs qu’il se proposait de livrer à la police. A ’ une heure du matin j’étais encore en exploration avec mon guide, Émilie se promettant de retrouver Hotot, et moi de découvrir Caffin, lors= qu’une nommée Lowlron la blagueuse, dont nous Pimes la rencontre, nous annonça que ce ’ ° - Tous 111. 13