Page:Vidocq - Mémoires - Tome 3.djvu/271

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I un vuweq. sav

ma langue presque aussi bien que moi zi nous pouvons alors nous conter nos peines. Moiselet était très’curieux de connaître mon histoire ; ~ ·cel.le que je lui fabriquai était’appropriée au genre de confiance que je souhaitais lui inspirer. «· Pom moi venir France avec maître à’moi, moi l’y être tomes tique. Maître à moi, maréchal Autriche, Autriche peaucoup l’or en son famile ; maître à moi l’y être michante, mi-Ã chante encore plis que dafantache ; tuchur pi-« nir, tuchur schelag ; schlag l’y êtrepas ponne ;. maître à moi, emporté mon personne avec ’. » régiment en Montreau..... Montreau....., ô nx Jésus mingotte lgrouss, grouss pataille, peau· » coup montecapoutmaq, dormirtuchur. Franz, Napoléon’, Pêtapon, poum, poum, Prisse., Autriche ; Rousse, tous estourbe.... Moi peur pour estourbe ; moi chemine, ohemine avec eine gross pitin, que âfre maître à moi dans le hâFre-sac, sir ma chival ; moi pas pitin ditout, miseràple ; moi quitte maître, moi tu de suite pitin, pli miserâple, peaucoup lîqry peaucoup petite qui prilleg peaucoup quelle heure il est.. ;.i Galope galope Fritz ; moi ap’ » pelle Fritz en mon maisson, -@lop Fritz, È en Pondi, halte Fritz, où le harpre i tuche lé