Page:Vidocq - Mémoires - Tome 3.djvu/311

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n’est pas mon défaut, je fixîis par être informé que Sablin venait de Hier sa résidence à Saint-Cloud, oùîil avait loué un appartement. Acette — nouvelle, je partisdee Paris, de manièreà ¤’ar-gi river qu’à la tombée de la nuit ; on était alors en novembre, et il faisait un temps affreuxf Quand j’entrai dans. S8.int-·C1011d, tous mes vêments étaient trempés : je ne pris pas même le temps de les faire sécher, et dans l’impatience de vérifier si je ne m’éI ; aâis pas embarqué sur uw faux avis, je pris, .au.suje1 ;·du nouvel habitant, quelques renseignements desquels il résultait qu’une femme, dont le mari marchand forain, avait près de cinq pieds dix i pouces, " était récemment emménagée-dans la maison de la ; mairic-

Les tailles de cinq pieds dix pouces ne sont · pas communes, même parmi les Patagons : je ne mloutai plus que l’on ne m’eût indiqué le véritable domicile derSa.blin. Tou ! efois, comme il était trop tard pour m’y présenter, je remis ma visite au lendemain, et pour être bien ’ certain que notre homme- ne.m’échapperait pas, malgré la pluie je ame décidai à passer la nuit devant sa porte., J’étais en vedette. avec un de mes agents ; au point du. jour, — ao.