Page:Vidocq - Mémoires - Tome 3.djvu/345

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’ D2 VI.’D0¤Qs COI — »0û jé vais ? à Milly, àCl1HtEi’ilêü IIi0\ii’.§ JIIs., — » En ce cas, si vous le permettez, nous fes ; rons route ensemble ; puisque c’est à Corbeil que nous allons ;ça neipeut pasmieux tomber. —n C’est vrai, reprit le boucher ; ça ne peut — » pas mieux tomber : aussi vais-je’proiiter devotre société ; quand ona de l’argent sur-, . ’ voyez-vous ; il. fest. de œl que dans ar être seul. ’ Àlrlvous avez de Yargeni l’ ’ - «— » Je-le crois bien qjuejien à, · qt une asset : ibrte somme. — » Nous aussi nous en avons ; mais il ? ’ nous est avis que dans le ctmtou n’y u pas il (ll’ !IlgB1’., — n Vous croyez. ?" au surplus fai là db me défenèlre, ’ajouta-t-il ; en mimtmnt mn il bâton ; et puis ; àveé vousnutres, sàvez-veus. ! n bien que les voleurs y à deus n fois ? ’ · e ·— » Ils ne s’y frotteraient · ’ ’ — »·Non·, sacnedîeu, . ils ne s’j-F1·otteraieh1 : PAS. » ’ ’ Tout en s’entretenant Je l’a sorte, le tPiô·ai’riveâ la porte (l’une maisonnette que le rameau degenibvre signale comme un- càburét. Fontaine-