Page:Vidocq - Mémoires - Tome 3.djvu/362

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iso - ninomns

— » Enfin, vous faites ce qu’on vous commande. C’est égal, aussi vrai que je m’appelle Clair Raoul, je puis bien vous jurer que I » j’ai été- dénoncé à faux. Faut·—il que le monde soit canaille... ! Moi qui ne cherche qu’à gagner ma pauvre vie. On a bien raison ’ » de dire qu’il y a toujours des envieux. Mais écoutez, M. Jules, avec moi il n’y a pas de porte de derrière., faites mieux que ça, restez ici toute la journée avec vos messieurs, vous n verrez si je vous en impose. ·

— » J’y consens, mais pas de bamboche au moins ; c’est que vous êtes- un cadet à faire n disparaître les chansons : surtout pas d’intelli=·· ’ » gence au dehors. (Y est que si vous faisiez pré= a » venir les chanteurs de la goguette...... — » l ?our qui que vous me prenez ? répliqua Raoul avec vivacité, si je vous donne ma panfrole de ne rien faire, je suis incapable d’y manquer : on a de l’honneur ou l’on n’en a pas. ’ » D’ailleurs, pour prouver que je n’ai pas de mauvaises intentions, vous n’avez qu’à ne ».pas me quitter ; je m’engage à- ne souffler. mot à qui que ce soit, pas même à ma femme, quand elle reviendra : de la sorte, la vous serez bien sur......... Par exemple, il