Page:Vidocq - Mémoires - Tome 3.djvu/381

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n¤’·v~:¤0¤çÃ. i mv · -···· »Aie, aiè ! · Q- » Montez sur mon épaule. — » Eh ! là bas, vous n’êtes pas de verre. — » Sont-ils fous de faire tant de bruit ? —ï- » C’est rien ! c’est rien ! c’est un exèmpt. — » y en a-t-il de ces mouchards ! —· » Des mouchards l il n’y-en a que quatre. »-Quand ces criailleries cessèrent, le fluxet le reflux de la multitude m’avaient transporté au milieu d’un groupe nouveau, où une douàaine de gobe-mouches s’entretenaient aussi de moi. PREMIER GODE-MOUCHE (celui-là avait des I cheveux blancs). « Qui, monsieur ; il a été con·=damné pour cent un ans de galères : ùn·1’clevé · de mort. -. SECOND GOBE·MOUCHE. » Cent et un ans ! ciest. plus d, \ll’l siècle. UNE VIEILLE FEMME. » Ah E grand Dieu E qu’est-ce que vous mefaites.l’honneur de me ’ » dire P cent et un ansi comme dit cetautre, . ce t gz n’est pas un jour. TROISIÈME GOBE-MOUCHE. » ’Nonl non, . ce n’est ia pas un jour, c’est un beau bail. ’QUATRIÈME GonE—MoUcHE.. » Il avait donc as-· p sassiné ? ’ CiNQUiÈME· GOBE-MOUCHE. » Quoi E-vous n-e