Page:Vidocq - Mémoires - Tome 3.djvu/400

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au nnincxbzs Bonjour, la imère Bardou. Comment que ça va ?, — » Bonjour, mes enfants, soyez les bienvenus, ça va comme vous voyez, à la douce ; que peut-on vous servir ? — » A dîner, nous mourons de faim. J ····· » Ce sera bientôt prêt ; passez dans la salle et chauffiez-vous. » Tandis qu’elle met le couvert, j’entame la conversation avec elle.-Je suis sur que vous ne me remettez pas. — xi Attendez donc. · ’ — » Vous m’avez vu vingt fois l’l1iver dernier, avec Pons, quand nous venions pendant la nuit. ~ · — » Quoil c’est vous ? — » Je crois bien que c’est moi. — » Je vous remets parfaitement. — » Et le compère Gérard, qu’en faites-vous ? — » Toujours bien portant ? — » Oh ! pour ça, oui, il a bu ici la goutteà ce matin, en allant travailler à la maison Lamare. » ’ J’ignorais complètement ou était située cette maison, mais comme j’étais censé au fait des localités, je me gardai bien de m’en enquérir.