Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/112

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reg. gittonis

pleine sécurité-, Jixire chOix.de·œquî étaifà sa convenance : mùntres., oux gdiatnants, pierreries, il sianljugea tout ce qui avait le plus de Valeur, tout ce qui étaitle plus-pO1ttatif·, et· dès qu’il eut achevé sa pacotille, il congédia le facstiûtmaire et disparut. . p ....

i’Ce vol ne »ponvai’t être longtemps ignoré ; dès le jour suivant, on s’en aperçut. Lœtonnerre fût tombé sur la police, qu’elle eùtszaété moins — liwuleversée q-u’à la nouvelle de cet événement.: pénétrera usquei dans le sa nctuairedes saints !. Le fait paraissait si extraordinaire qu’on le révoquaèt ’ en doute, Pourtant il était évident, qu’iln vol avait eu lieu ; à. qui l’attribuer P ;Tons.les soup ; ç, Q11â.planaient.sur des employés, tantôt sur l’un tantôt sur Yautre, lorsque Beaumont, trahi par 1111 de ses amisû fut arrêté îethcondnmnén une ses-QQ11de fois. Le vol, qu’il avait cômmis pouvait être évalué à quelques centaines de mille francs, on en retrouva SUIT lüî la, plus.gEandeZpartiei : et Il y avait là, disait.-il, de quoi. devenir how-1*..¤ê$€ h0¤1m€· ; Je le sera, is, devenn ;, =« c ?est-sgi— aisé n ; g nan d on, est riche : pdunmqt, combien- tléjriu ’ »··<¢·he$- ne ·sqnt.qua des ; coqqins-aE: »iGes zparoles fn rem ; leszseulnâ.qu ?il· pnoféraay lorsqnïqn se-saisi’I: de sa personne, . Cet •é1101mnnI ; voleur afulicdn dtlinà