Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/163

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DI vinocq. ill

pas E -·— Yen- ’serai quitte pour ne pas aller dimanche à la barrière ; —-·· Je fvoulaishles s »’mettre’ à la loterie ; ma mise est ·faite· à ll- présent. -4- Sion ne s’aidait pas ·les uns les I ai1tres :....—·Bàhl bah ! pour une chopine de moins que je boirai... en l’la hotte, · par ici. · n -g- A quoi qu’on est exposé ! —=- J e recruterai p par là quelque Bon paysan, · et puis’si je nié- ; trenne pas à ce.soir, tant pis’ ; Toe n’est pas fête ’tous les jours. — Adiezrmon fichu. ; je l’achèterai plus tard. — Vous avez raison, ’ma ’ belle : tout nu court les rues, mort de faim ’ n’y va pas ; 1le’cielvous récompensera.-Dis donc, Franigoisë, moi qui croyais dégager mon schal.— Etinoi, mes anneaux ; 5 la Qgrâce de Dieu ! ce sera quand ça pourra. È — » Eh ! les autres ne poussez pas tant 5 si vous En ne voulez rien donner, passez votre chemin. » Il ne s’approche pas un curieux que la femme à la hotte ne l’invite àpayer son tribut ; elle est intrépide dans la collecte. — ·« Ah !·voilà"des dames en chapeau. » Elle court-vers· elles ; mais ces, dames sont sorties de la’maison devant laquelle on est attroupé : elles détournent la tète, et doublent le pas pour ne pasêtre impo :•tu- ’ nées, ..-