Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/173

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un vxiooç. ’ · · III’

instants, de cet accent profondément expressif ° d’une ame pleine encore des douceurs du néant :’ Tétais si bien ! » dit-elle’: son horizon s*agrandit, les ténèbres se dissipent, « Où suis-je ? (avec émotion} la garde ! la prison ! Diëq, la prison ! i ’

L’orr1c1En.’ » Rassurez-vous, la brave femme, n vous êtes avec de bons enfants ;. " ’ Anàms’. » Ah, Seigneur ! sainte vierge Mari e !’ · n qu’ai-je fait au monde E" · ’ LE SERGENT’. » Tant que vous serez avec.no1is· ;’ il n’y a pas de danger que personne vous mani que ; ne sommes-nous pas de l’impla0àble* dalx-huzïièmc P (II lui présente sa gourde. Buvez, ça vous fera du bien ;..... ’c’est’de ld’ »· bonne, au moins, à six sous le poisson. " Anime. » Monsieur le sergent, je vous riz-· »— mercie ; dispensez-moi.... · ’

LE SERGENT. l » Vous boirez, ·ou vous direz pourquoi. Prenez, prenez, ça vous’donnera du ton. » i - A “

Les instances du sergent deviennent de plus en plus pressantes. Adele n’ose plus refuser ;" bientôt elle recouvre assez · de force pour pouvoir répondre aux questions que lui adresse" Pofflcier. Elle ne récrimine pas, elle raconte, et