Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/177

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ou quatre francs cinquante-cinq centimes. Faites ; attention, je les mets dans le coin de votre Q tablier". Vingt-quatre francs onze sons ; ils sont noués là dedans. Que l’on dise à présent que les soldats sont pires que la troupe, et qu’il n°y a pas de bons b·... parmi les implacables. » ’

’ Adèle se confond en témoignages de recon— ’ naissance. « C’est bien, c’est bien, vous ramer cirez une autre fois, lui dit.le capitàde ; I a » allez} dormir, vous devez avoir besoin de reposi a ·

— » Je crois bien, s’écrie le numéro sept ’, · ’après une poussée comme celle qtiïelle’a eue. Hardi !... ma petite mère, appuyez-·vous sur nous ;... ne craignez pas, je suis solideet le’ camarade aussi. ’.e

« -· » ’Oui, oui, appuyez-vous. — ».. Il était près de deux heures du matin quand Adèle fut ramenée au logis. On frappe ; Frédé-· rie vient ouvrir. En pénétrant dans le réduit qu’Àdèle leur indique comme son domicile, les deux soldats sont effrayés. Pas le plus petit - meuble, les quatreanurs, quelques pqilles bri=·· sées, et sur cette litière deux femmes gisantes, sans draps, sans couvertures, sans le moindre