Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/205

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I Il VIIOOQ· In !

— » Vous me chasser., vous me traitez ’ comme la dernière des dernières ; il n’est donc · pas vrai que le Sauveur ait pris Madeleine en. pitié ? il n’est donc pas vnai qu’il ait pardonné à la femme adultère ? il n’y a donc pas eu. desaint Vincent de Paule ? il nous trompair · donc, Paumônier de la prison., quand il· disait que-la miséricorde de Dieu est inépuisable il n non, il ne nous trompait pas ; elle n’a pas »···menti cette bouche si pure de laquelle il ne sortait que des paroles de consolation ! Grand’i saint Vincent de Paule, vous dont il nous en- ’ retenait si souvent ; vous qui, pour con- · »· vertir les malfaiteurs, vous attachiez à leur

chaîne ; vous dont il imitait toutes les vertus, .

intercédez pour moi.... Que n’étes-vous encore sur cette terre ! vous seriez’touché de mes larmes, vous ne me rebuteriez pas ! ·. I — » Saint Vincent ferait comme il 1·anœn-. ; drait, moi je fais comme je puis, et je ne ai puis rien. Je vous le réitère, je ne puis rien, 5c’estl’âcheux pour vous, mais vous me compte-. · nez : ainsi ne m’importunez pas davantage. ».s ’ —- (Se relevant.) « Écontezhmoi, ’mpnsieulg le curé, je vous en conjure. ·

— » C’est inutile.