Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/211

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’un irxnocç. · ’tas — ».0 débine qui a tué mon père, s’écria ’ Susanne ! · ’ - » Ce niest que trop vrai, nous y voilà jusqu’au cou, soupira sa sœur.. —·· » Oui, reprit Frédéric, nous sommesn revenus au point où nous étions il y a deu hier un mois jour pour jour ;. si mam’selle Adèle pouvait encore rencontrer quelques-uns de ces implacables de la dix-huitième q-ui sont si bons enfants, ou seulement ce brave comédien ! -i— n Oh l je n’aurai pas tant de bonheur que çi ; ’je trouverai plutôt quelque pierre pour me 6a$S€I’le COU. ’ — » Si fait, vous mam’selle, vous avez du ’ bonheur, ·c’est toujours vous qui nous avez sortis d’embarras ; je suis sur que si vous vous mettez dans la tête de le faire, vous ne reviendrez pas les mains vides. — n Les jours se suivent, mais ils ne se resw semblent pas, et je n’ai· pas idée que cette fois". —·—· » Pourquoi jeter ainsi le manche après-la coignée...P vous avez été bien inspirée, il n’est pas dit que vous ne le serez. plus.. -#~· ’n Que \g¤111ez-·vons quu.j¤*i’¤ »eP l,