Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/214

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mp articule 1

à Yavance, tous conspirent pour l’écarter. a Ne vous pressez pas tant, lui crie un · n de ces mendiants ; ’nolls sommes au complet...

— » Ons quelle va ste particuleëreP » dit une espèce d’ivrogne, en s’eFforçant de lui barrer le passage. ·

’ Puis vient le tour d’une ancienne poissarde.. ’ « Ehl dis donc, ma petite, t’accoues la gueule enfarinêeP les trois livres, la torche et la guenille, ça te passera devant le nez, c’est pas le tout de se lever matin., faut arriver à l’heure. Eh mon compère ! madame a besoin ix- d’une aune de serge, toi qu’es galaml, cède lui donc la tienne ? ·—· Bah ! est-ce qu’elle est ’ inscrite à la section pour avoir du drap noir ? — Oui, oui, c’est dit, madame veut le chiffon, le chiffon, c’est rien ; mais le petit écu, elle est pas dégoûtée. » ·. ·.

Malgré ces apostrophes, Adèle poursuit son chemin, et passant devant la loge du Suisse sans être aperçue, elle se dirige VGPH une espèce de péristyle à claire-voie fermée, sous lequel est une troupe de laquais, les uns s’entretenant à haute · voix, les autres jouant QUI ce1’¢9$, tandis quïi quelque pas de là sous le vestibule, transformé