Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/216

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sa qu’â faire signe ; ehl- pardieu, sion ne se »“dom1ait pas un peu de bon temps : on n’a 1 » que celui que l’on prend". ; et puis, c’est, pas tous les jours qu’on enterre monsieur le duc ; il nous a fait assez enrager de son vivant, quand nous nous réjouirions un peu à sa ’ » mort. (On entend M zkerere mei Deus.) Est-ce un tuyau qui crève ? tenez, tenez, mes amis, c’est l’autre qui se réveille ; écoutez donc, il a un chat dans la· gorge ; il entonnerait mieux une bouteille de Bordeauxf

— » En vérité de Dieu, je ne ssis pas comment ils peuve zy tenir : sentez-vous l’odeur ? ils en ont du premier tiré ; c’est qu’il n·’ya pas de charogne qui pue. de cette force : qu’est’ » ce quiea une tabatière dans la compagnie ? — » Tiens, -tiens, fais passex·.’— » En usez-vous ? ·,

— » Il est déjà en putréfaction. · — » C’est pas étonnant, monsieur a iàit une ’ » vie si désordonnée. ’ " n

L · —··, » On dit qu’il est mort d’avoir pris des canthariques. r — I, —

» Il est mort, t’es bein honnête : ces ’ · » riches, ça se croit tout perm »is : ;~· jusqu’à de ’petites filles de dix ans, qu’il se faisait ame-. ner ; des enfants !· ça révolte la nature.