Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/217

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A un vrnooç. I :09 J2- » Ah ! ’dans le quartier il en a débauche plus d’une qui, sans lui, ne se serait ja-mais perdue. Des êtres pareils ! c’est devrais fléaux. — » C’est si vicieux, que quand même ilin’y. a plus mèche, ça ne peut se passer de leurs. passions. Te rappelles-tu, quand tu le conduisais à sa maison de Montrouge, qu’il te laissait sur la route avec la voiture. ça fait frémir les horreurs qu’ils faisaient avec », le père.Ã.· comment s’appelle-t-il donc ? Le nom n’y fait rien... Mais si j’étais de quelque chose dans le gouvernement, des mons-. ’ •> tres comme ça, je les ferais brûler vifs. — » ça ne l’empêchait pas de manger le bon Dieu tous les dimanches, et de porter le.. ’ cierge à la procession. · — » Si celui-là va a-u ciel-.... Ah lça ! quand viendront-ils lechercher’ ? Il me sem- », ble qu’ils tardent-bienL.. Chasseur, vas. un peu voir. — Alerte, alerte, voilà les croque-IIIOl’lÃS· »· · A A ce signal, toute la cohue des valets se dis- I I perse : au revoir, monsieur Ie comte ; — sans Adieu, monsieur le marquis ; — bonjour duc ; I ’ — nous nous retrouverons. là-bas, mon cher. Tous xv. xl ; A