Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/223

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vous pas que c’est pour rendre, les honneurs ? » Il se fait un roulement sourd, dont la vibra-tion lugubre annonce le départ. À Allons, les, pauvres, à votre poste, commande le maître des cérémonies. » C’est la marche qui commence, la Ibule des assistants s’écoule avec le, cortège. Adèle, le cœur serré, s’éloigne en lon=· geant la corporation des mendiants, dont la sa= tisfaction de voir une rivale éconduite, éclate ’par un rire satanique. Oubliant que le recueil= ’ lement leur est prescrit, ces privilégiés de toutes les mllnificences funéraires, trépignent sous leur lambeau : tous s’agi12ent avec d’horr, i’bles contorsions en secouant ces torches, qu’ils s’eFforceront bientôt d’étei-ndre, afin d’en tirer un plus grand profit. Leur joie est atroce, c’est celle que causent aux démons les tourments d’un réprouvé. Adele, qu’ils narguent, redouble de vitesse, sans oser regarder en arrières « Elle ale bec cloué, hurle l’une de ces Furies qui l’avaient saluéeà son arriVée·. ’ I

C’est bien fait ! répond la suivante, elle ’ n’a pas voulu m’eu croire..

— »i Aussi elle est payée, observe une troisi $16mC. · · "

-· » Te voilà, invective une autre mégèrec, .