Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/233

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

u nz vxnocç. ns ·

in vu si courageuse en tout, que je me suis dit, comme ça, ça ne doit pas venir d’un homme. xi Actuellement que vous m’en faites l’ouverture, en bien ! je ne refuse pas la partie... Au surplus, chacun pour soi, ça n’engage la personne... tout le monde est libre. HEN1uE·1°rE. » Toi aussi !... Comment peuton avoir des idées pareilles ? u

F11É1>É1uc. » Ma foi, quand il n’y a plus ’ d’espoir... Je me suis présenté à l’entrepre- ’ iv neur des boues ; j’ai voulu être balayeur, cureur d’égoûts ; je suis allé aux fosses inodores, il llly avait pas de place pour moi... Pas d’ouvrage si sale que je n’aie sollicité... jusqu’â aller m’offrir à Montfaucon et aux équarrisseurs, pour travailler à moitié prix... On m’a enseigné à Clichy une fabrique de céruse, où l’on dit que les ouvriers meurent comme des mouches, en bien ! pour entrer là dedans, on m’a demandé des certificats. C’est comme à la manufacture de glaces, pour s’empoisonner par la vapeur’du meris cure, il faut encore des protections. On m’a ’ dit que je pourrais être employé sur le port au déchirage cles. bateaux, ou au canal, à ’ rouler la brouette avec les terrassiers, et-je’ ’ Tom ; xv. I 5