Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/236

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qu’est-ce qu’on t’a répondu ? que tu avais été là-bas, et qu’on ne pouvait pas te les confier. SUSANNE. » Quel malheur !

HENRIETTE. » Si nous prenions chacune un éventaire devant nous, et que nous allions vendre.

Fmînéuxc. u Et quoi vendre P pour vous faire saisir.... ; avez-vous une permission ? il faut Yacheter, et de l’argent pour avoir de la marchandise, ne fût-ce que de Pamadou ; sur quoi voulez-vous qu’on vous en donne ? sur les poils de ma barbe. ’ ’

SUSANNE. » J’ai envie de me proposer dans ’ S. » les petites- affiches, quand ce ne serait que pour être bonne d’enfant...

’ FRÉDÉRIC. » Les petites affiches I encore des jolis cocos à mon gré, si tu as un petit écu à leur porter ils le prendront ; et puis, sa faite comme tu l’es, quels sont les maîtres qui voudraient de toi ? une supposition qu’ils en voudraient, tôt ou tard ils apprendront qui tu es ; s’il se fait un vol dans la maison, qui >>i accusera-t - on P Susanne et l’on volera bx parce qu’on vole impunément où il y a des libérés ; ils sont là, retombe sur eux : plus - » je réfléchis, plus je vois que ce qu’il y a de