Page:Vidocq - Mémoires - Tome 4.djvu/237

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D mieux pour vous comme pour moi, c’est d’en ûnir.... ° ’

SUSANNE. » Il n’en démordra pas..., oh ! que D. j’aurais bien dû la laissser se jeter à l’eaul’... I’IENRlE’ITE«, D Si tu ne l’avais pas détournée de se noyer...... Ca ne lui coûte rien à elle, pouli-un oui pour un non.

ADELE. » Si fait...., cela me coûte ; je mentirais de dire le contraire.... Cela me coûte beaucoup", . On n’a rien. de plus cher que-D l’existence ; il a fallu que j’y tinsse pour faire ’ D tout ce que j’ai fait.... pour souffrir tout ce que j’ai souffert. Quelle ressource avez-vous, aussi bien que moi ?·Si vous étiez plus jeunes, D je vous dirais, faites la vie, et encore est-ce sa un sort ?.. Vous avez Yexemple sous les yeux... D J’ai été belle, sans me flatter, oû cela m’a-D t-il menée P Quand on est dans notre passe, il n’y a pas à balancer... Aimez-vous mieux mourir de faim ?... Rappelez-vous la nuit des soldats, et ce que vous avez enduré... D Aujourd’hui, il n’y a plus de soldats... SUs.m1¤E., » Il n’y a plus de soldats l-ADELE. » Ils sont partis..

HENRIETTE. — » Et le comédien ? ’ JADÈLIÉT. » Vale chercher dans sa bière..·.